‘The earliest recipe of the Bûche de Noël shows up in Pierre Lacam’s 1898 Le memorial historique et géographique de la pâtisserie. The earliest mention however is a couple of years earlier in Alfred Suzanne’s 1894 La cuisine anglaise et la pâtisserie where he notes in passing that it is (was?) the specialty of a certain Ozanne, presumably his friend Achille Ozanne (1846-1898). Of course we have no idea of what this looked like. An article in the French newspaper Figaro adds an interesting tidbit (see Pierre Leonforte, “La bûche de Noël : une histoire en dents de scie,” Figaro, 17 December 2000): according to Stéphane Bonnat, of chocolatier Félix Bonnat her great grandfather’s recipe collection from 1884 contains a recipe for a roll cake make with chocolate ganache. Admittedly she makes no claim to this being the first bûche de Noël.
‘One of the famous stories about this French dessert is associated with Napoleon Bonaparte of France. He issued a proclamation, as per which, the people of Paris were ordered to close the chimneys of their houses, during winters. It was thought that entry of cold air into the houses was causing spread of illnesses and the proclamation was aimed at prevention of such diseases. It was during this time that Buche de Noel or yule log cake was invented in Paris. As use of hearths was prohibited, they needed some sort of traditional symbol that can be enjoyed with family and friends during the festive season that falls in winter. Thus, this cake became a symbolic substitution around which the family could gather for storytelling and other holiday activities.
‘It makes sense that the cake, like so many other Christmas traditions (think Santa, decorated Christmas trees, Christmas cards, etc) dates to the Victorian era, to a time of genteel, bourgeois domesticity. In France, in particular, a certain romantic image of peasant traditions had become part of the story the French told themselves about themselves and while the average Parisian bourgeois could hardly be expected to hoist logs into their 4th floor apartment, they could at least show solidarity for their country cousins by picking up a more manageable bûche at the local pâtisserie. That the result was a little kitsch fit the middle class sensibility too.’ — collaged
________________
This year’s candidates
________________
Bûche de Noël 2017 @ Peninsula Paris
Composé d’un biscuit amande, et surmonté d’une compotée de mangues au miel et d’une mousse de thé au jasmin, ce dessert se mange sans difficulté, et si le gâteau est prévu pour 10 personnes, sachez que 6 gourmands n’en laisseront pas une miette.
Ce gâteau peut être commandé dès le 18 décembre, 48h à l’avance pour laisser le temps au chef de le réaliser spécialement pour vous !
Disponible du 18 au 31 décembre 2017
Tarifs : 98 €, sur réservation 48h à l’avance
________________
Loiseau des sens @ Boutique Loiseau
La bûche « Loiseau des sens » reprend l’architecture du tout nouveau spa basé au QG de la maison à Saulieu. Sans gluten, avec 80% de produits bio et allégée en sucre, elle se place dans la lignée de la cuisine du tout nouveau restaurant healthy. Sur son toit végétal : crumble cacao et mousse yuzu. À l’intérieur, une génoise sans gluten (farine de riz et maïs) et compotée de cassis sur un lit de florentin aux amandes, enrobé de chocolat blond.
75 euros pour 6-8 personnes. En vente et en commande 48h à l’avance à partir du 1er décembre et à retirer dans les boutiques de Beaune, Saulieu, Dijon, Paris
________________
Florence Lesage Bûche @ The Westin Paris-Vendome
Florence Lesage, la chef pâtissière du Westin a créé une bûche très nature en trompe-l’œil : des rondins de bois en chocolat relevés d’un biscuit amande sacher chocolat noir 66%, d’un caviar de noisettes torréfiées et d’une compotée de cassis.
80 euros pour 6-8 personnes sur commande du 1er au 22 décembre, à récupérer les 24 ou 25 décembre. Tél. : 01 44 77 10 20.
En dégustation à l’hôtel du 1er au 31 décembre, 13 euros en part individuelle.
________________
Konstantin Grcic Bûche de Noël @ Häagen-Dazs
Konstantin Grcic est une pointure de la nouvelle génération du design. Ses créations sont d’ailleurs exposées au MoMa de New York, mais aussi au Centre Georges Pompidou de Paris. La signature de Grcic est entrée dans le quotidien avec des objets iconiques, comme la fameuse chaise moulée d’un seul bloc, sans pied arrière, maintes fois primée.
Pour Häagen-Dazs, l’artiste transforme les fêtes de fin d’année en un événement royal, avec une bûche en forme de couronne. La première repose sur un biscuit croustillant au praliné, sur lequel s’appuie le fameux parfum macadamia nut brittle de la marque américaine. La glace “belgian chocolate” vient en complément. Une sauce au caramel au beurre salé peaufine la recette.
Les créations de Noël de Häagen-Dazs seront disponibles du 1er décembre 2017 au 15 janvier 2018 exclusivement dans les boutiques de la marque, au prix de 49 euros (pour dix personnes).
_________________
François Perret Bûche @ Hôtel Ritz
Pour la création de cette pâtisserie, François Perret a plongé dans la magie de Noël pour imaginer un Père Noël stylisé. C’est un petit clin d’oeil à l’excitation qui nous faisait guetter le Père Noël étant enfant, sans jamais arriver à le voir. Un bonnet rouge avec un pompon, une barbe blanche et un bout de nez qui dépasse sous le bonnet enfoncé, voilà ce que l’on découvre.
Pour réaliser cette bûche sculptée main, le chef a créé des moules sur mesure. Une bûche unique donc que vous ne retrouverez nul part ailleurs. Sous cette belle barbe duveteuse et ce bonnet qu’on dirait tout doux, se cache un biscuit marbré marié à une mousse vanille et un coeur caramel aux pépites de chocolat. Des saveurs classiques qui font l’unanimité quel que soit l’âge, idéal pour ravie aussi bien les grands que les petits gourmands.
En édition limitée, taille unique pour 5 personnes
Sur commande à partir du 1er décembre au Concept Store du Ritz
_________________
L’Ecorce @ l’Hôtel La Réserve Paris
Imaginée par le Chef doublement étoilé Jérôme Banctel et son Chef Pâtissier Marc Lecomte, cette création s’intitule “L’Ecorce” et puise son inspiration des fameux marronniers de l’Avenue Gabriel mais aussi des bûches qui flambent dans les nombreuses cheminées de l’hôtel.
Côté saveur, l’écorce est faite à partir d’un chocolat Criollo artistiquement sculpté et le cœur de la bûche est une sublime garniture dorée où se mêlent un mariage de mousse légère à la vanille, d’éclats de marron glacé, de biscuit moelleux à la châtaigne, et de subtils inserts de poire caramélisée et de sirop de Merisier.
Notez que cette bûche de Noël 2017 est disponible du 15 au 24 décembre 2017, en édition limitée.
Bûche « L’écorce » pour 6 à 8 personnes : 110 €
Pour toute réservation : [email protected] à venir chercher à La Réserve Paris de 9h à 17h – 7/7
_________________
Bûche Rock @ Christophe Michalak
Du choix, de l’original et surtout du bon, voilà ce que nous a concocté Christophe Michalak pour nous régaler à ce Noël 2017. Notre chef, mi super-héros, mi rockeur chic de la pâtisserie, aidé par une idée lumineuse de son épouse, nous propose cette année, ni plus ni moins qu’une guitare en guise de bûche de Noël.
Dans son écrin spécialement conçu pour arriver intact sur la table, imaginez la tête de vos convives quand vous déballerez la fameuse bûche en forme de guitare. Composée d’un croustillant praliné coco, d’une crémeux de chocolat noir, d’un biscuit sans farine (avis aux sans gluten), d’une mousse coco allégée et le tout twisté d’un confit de mangue-passion, cette bûche n’est pas seulement sublime, elle est aussi délicieuse. Idéale pour finir un repas copieux en famille.
Dès le 1er décembre 2017
Comptez 125€ pour 8 à 10 personnes.
_________________
Bûche Kukla @ Dalloyau
Sous une coque de chocolat blanc ajourée, cette création blanche est surmontée de délicates matriochkas et de petites meringues rappelant la forme des dômes orthodoxes.
Enrobée de chocolat au lait, la base de cette bûche se compose de confiture de lait parfumée au citron vert et d’une meringue aux amandes parsemée d’éclats d’amandes brutes Valencia. En son cœur, un biscuit financier moelleux marié à la fraîcheur d’une compotée mangue-passion et à la douceur d’une crème à la vanille de Madagascar.
Glacée de blanc, la bûche est entourée d’une guimauve aux agrumes. En décor, de petites poupées matriochkas en chocolat au lait et des meringues inspirées des palais russes.
Tarif bûche : 120 € pour 8 personnes
________________
Emanuele Martelli Bûche @ Étangs de Corot
Emanuele Martelli, le nouveau chef pâtissier des Étangs de Corot, hôtel bucolique aux portes de Paris, au cœur de la forêt de La Ville d’Avray, a concocté une bûche apicultrice sous une coque en chocolat noir 64% de Madagascar. À l’intérieur, une mousse de miel parfumée au Noyau de Poissy (un Amaretto francilien), un biscuit praliné, un croustillant amande, des notes de miel, vanille et caramel à la fleur de sel de Guérande et un confit de cassis. Son écorce en chocolat et fruits secs caramélisés se dégustera au café…
65 euros pour 4-6 personnes à emporter, commande 5 jours à l’avance au 01 41 15 37 00. 18 euros en part individuelle au restaurant étoilé Le Corot.
________________
Adrien Bozzolo Bûche @ Mandarin Oriental
Le gâteau rectangulaire, en forme de fenêtre percée dans un mur en pierres de taille nappées de chocolat blanc, se compose d’un biscuit pomme gingembre, d’un crémeux yuzu, d’une brunoise pomme granny, enveloppé d’une mousse chocolat blanc et vanille. Un sapin de Noël miniature en crumble chocolat vient compléter cette composition gourmande et se révèle derrière cette fenêtre alléchante qui semble sortir tout droit des plus beaux contes. Hansel et Gretel n’y résisteraient sans doute pas !
La bûche de Noël du Mandarin Oriental, Paris est disponible en édition limitée du 11 au 25 décembre 2017 uniquement au Cake Shop et sur commande 48h à l’avance au 01 70 98 74 00 au prix de 78 euros (8 personnes).
________________
La banquise @ Yann Menguy
Yann Menguy, remarqué dans « Qui sera le prochain grand pâtissier ? », revisite les horizons du Pôle nord avec des saveurs du grand sud dans sa bûche signature. Sous sa fine banquise de chocolat blanc se cache un biscuit amande-vanille, arrosé d’un confit de mandarines corses, un praliné pécan-fleur de sel et une mousse vanille de Madagascar.
68 euros pour 6-8 personnes, sur commande à partir du 11 décembre à la pâtisserie.
________________
Cinq matriochkas @ Café Pouchkine
Cinq matriochkas en chocolat sagement alignées : la création du Café Pouchkine, qui s’offre une toute nouvelle adresse parisienne (16, place de la Madeleine), honore ses origines venues de l’Est. Ses poupées russes en mousse de mandarine, biscuit moelleux et confit de mangue, socle chocolat et crumble croustillant, pâte sablée, épices et noix de pécan offrent de plus une généreuse tablette de chocolat à partager. Existe aussi en version coco-mangue (blanche).
78 euros pour 6-8 personnes, à partir du 8 décembre. En boutique uniquement.
_________________
Bûche P’tit Train @ Maison Bellanger
Une ssociation de mousse légère chocolat au lait du Vénézuéla et fruit de la passion, d’une mousse au chocolat noir de Madagascar, d’une gelée de fruit de la passion et d’un croustillant noisettes.
Une douce association de légèreté et de fraicheur.
Taille unique 6 personnes. En vente a partir du 9 Decembre 2017
_________________
Marianne Guély Bûche @ Lenotre
Dans une ambiance « forêt enchantée », vanille et noisette se tirent la couverture sous ce décor inspiré des œuvres en papier de l’artiste Marianne Guély. À l’intérieur, une mousseline noisette, rouleaux de pâte à cigarette, chocolat, praliné coulant de noisette avec au cœur un roulé dacquoise, une bavaroise et un ruban de caramel noisette à la fleur de sel…
130 euros pour 10 personnes, en vente du 9 au 24 décembre. À réserver à partir du 2 décembre dans les boutiques Lenôtre
_________________
La toupie féérique @ Hotel Shangri La Paris
La toupie féérique du chef pâtissier Michael Bartocetti s’impose comme l’une des plus spectaculaires de l’année. Sous sa pointe se cache un délicieux gâteau-mousse de chocolat Madong de Papouasie, croquant praliné noisette à l’ancienne, gianduja crémeux et biscuit au pain d’épice le tout sur un croustillant à la noisette et à la fleur de sel recouvert d’un chocolat Caraïbes 66%. Sa coque en chocolat façon mendiant aux fruits secs et noix se croque pour prolonger le dessert.
118 euros pour 8 personnes, au restaurant La Bauhinia du 5 au 25 décembre et à emporter sur commande 72 h à l’avance.
__________________
La sculpturale bûche de Maxime Frédéric @ L’Orangerie
La sculpturale bûche de Maxime Frédéric, le chef pâtissier de L’Orangerie, le plus secret des restaurants étoilés du George V, est aussi la plus haute de l’année : 60 centimètres. Sur ses branches, des bûchettes-bouchées chocolat 75% et lyokan, noisette et yuzu sont à cueillir. D’autres petites mignardises se détachent comme les pommes de pin, l’étoile dorée et des mendiants pistache-noisette-praliné. Sa structure en chocolat finira de ravir les plus gourmands…
Disponible dans les 3 restaurants de l’hôtel, 160 euros les 4-6 parts et 180 euros les 6-8 parts. Commande auprès des restaurants 48h à l’avance.
________________
Chapiteau @ Sébastien Bouillet
Mousse chocolat au lait Vanuatu 44% à la noisette, crémeux yuzu, gelée yuzu, biscuit à la noisette & croustilant popcorn
Allergènes
Fruits à coque, gluten, lactose, oeufs entiers
Retirable en boutique du 16/12/2017 au 31/12/2017
6 personnes 42,00€
_________________
Truffée bûche de Noël @ Maison Elyse
Serge Billet, Meilleur Ouvrier de France et champion du monde de pâtisserie, propose une version truffée de la bûche de Noël pour les amateurs de bonne chère. Bruno, l’empereur de la truffe, table étoilée située à Lorgues, a créé une recette croquante et fondante sur un sablé breton à la noisette : crème à la truffe Brumale, pommes caramélisées à la vanille et glaçage chocolat, soit 1,2 kilo de pur bonheur.
110 euros pour 10 personnes sur elyse-artisan-createur.fr (livraison dans toute la France), Chez Bruno à Lorgues et chez Maison Elyse.
_________________
Jimmy Mornet Bûche @ Park Hyatt Paris-Vendome
Jimmy Mornet, le talentueux pâtissier du Park Hyatt, livre une adaptation gourmande des toits de Paris avec une bûche qui prend de la hauteur : biscuit à l’amande, confit de Kumquat, croustillant pistache caramélisé, mousse au miel de Paris et coque en chocolat.
80 euros pour 6-8 personnes. Réservations à partir du 1er décembre, en vente à partir du 20 décembre auprès de l’hôtel.
_______________
Rose @ Hôtel Belles Rives
Hommage aux créateurs de parfums de la Côte d’Azur avec cette sublime rose imaginée par Steve Moracchini, le chef pâtissier du restaurant étoilé La Passagère, niché dans un hôtel 5 étoiles historique qui a tant inspiré F. Scott Fitzgerald, le Belles Rives au Cap d’Antibes. Pour ce gâteau de Noël gourmand, rien n’est de trop : pétales de rose en pâte d’amande, mousse litchi, confit de framboises et pain de Gênes.
48 euros pour 6 personnes, à emporter, en vente à partir du 15 décembre à l’hôtel Belles Rives.
________________
La bûche @ Plaza Athénée
La bûche du Plaza Athénée, confectionnée par Angelo Musa, champion du monde pâtisserie et Meilleur Ouvrier de France, et son jeune chef Alexandre Dufeu, décroche la timbale de la meilleure bûche de l’année ! Un fagot de bois de 6 petites bûches individuelles, qui épargne en plus la découpe pénible du gâteau qui s’écrase sur la table. Écorce de chocolat, croustillant amandes-noisettes et biscuit cacaoté, crémeux chocolat au lait de Madagascar de la Manufacture Alain Ducasse, mousse à l’infusion de grué de cacao du Guatemala et gelée exotique banane-gingembre : on frôle la perfection !
110 euros pour 6 personnes à réserver à partir du 1er décembre
________________
Bûche Rubik’s Cube @ Hôtel Meurice
En tout, cinq parfums, des plus classiques aux plus originaux. Cube Marron ou Noix de coco, pour les gourmands en quête de saveurs douces et réconfortantes. Cube Amande – coriandre, ou Chocolat – truffe, pour les plus curieux. Cube Citron – menthe fraîche, pour une touche de fraîcheur.
En édition limitée, à emporter : 100 exemplaires du Rubik’s de Noël seront proposés à emporter, du 6 au 25 décembre.
Pour 6 à 8 personnes, vendu sur place ou à emporter : 160 euros sur place 220 euros à emporter. A commander 48 heures à l’avance.
_________________
Un Noel Flamboyant @ Cyril Lignac
L’esprit (de Noël) : Vêtue d’un manteau rouge flamboyant, la bûche imaginée par les Chefs Cyril Lignac et Benoît Couvrand, pour la pâtisserie Cyril Lignac, prend des airs de Père Noël.
La touche gustative : En son cœur, un biscuit emprisonne une gelée de griottes puis une crème légère à la fève de Tonka révélant ensuite un socle de biscuit au cacao et zestes d’orange.
La bûche individuelle est à 6,50 euros. La bûche pour 6-8 personnes est à 55 euros. Disponibles à La Pâtisserie Cyril Lignac du 15 au 25 décembre
__________________
La bûche Hendrick’s @ Cafe Costume
A la rédaction, on craque totalement pour cette bûche de Noël old school. A l’intérieur, un biscuit au chocolat léger, imprégné d’un soupçon d’eau de rose et de gin Hendrick’s. Une pâtisserie arty et anti-clichée à commander avant le 18 décembre chez le célèbre costumier, Café Costume.
Pour 8 à 10 personnes. 150€ pièce.
_________________
La bûche “Ultime” @ Pierre Hermé
La bûche « Ultime » de Pierre Hermé porte bien son nom : biscuit viennois au chocolat, crème chantilly au chocolat pure origine de Bélize, éclats de chocolat noir à la fleur de sel, sablés infiniment chocolat et crème légère à la vanille de Madagascar sous une écorce de chocolat noir craquant… Rien à ajouter (ni à retirer) !
71 euros pour 6 personnes en boutique du 8 au 25 décembre.
________________
Pierre Gagnaire Bûche @ Fouquet’s
Pierre Gagnaire signe la bûche de tous les restaurants Fouquet’s dont il supervise aussi les menus. Son design reprend celui des serviettes et ronds en argent si typiques de la brasserie parisienne née en 1899 sur les Champs-Élysées. En son cœur, un lit de sablé fruit rouge, une génoise amandes imbibée de sirop au poivre vert du Vietnam, une crème mascarpone et une marmelade orange, citron, gingembre en option.
65 euros à emporter, ou en part individuelle au chariot dessert des restaurants Fouquet’s du 1 er au 15 décembre. Édition limitée à 350 exemplaires.
________________
Le Renne Mère (Noir) @ À la Mère de Famille
Le très célèbre Renne Mère s’invite à Noël chez À la Mère de Famille pour ravir les petits et grands enfants gourmands !
Chocolat lait 36% – Garni d’amandes et noisettes enrobées de chocolat. Accessoires en pâte d’amandes. (hauteur : 17cm, poids garni : 485 grammes)
Couverture : fèves de cacao, pâte de cacao, beurre de cacao, poudre de lait entier, sucre, émulsifiant : lécithine de soja, arôme naturel vanille bourbon.
45,00 €
_________________
Bûche de Noël Exotique @ l’Hôtel Molitor
Inspiré par le style Art Déco, Florian Eude propose une délicieuse bûche de Noël exotique. La coco, la citronnelle et la vanille sont au cœur de sa création. Le Chef Pâtissier de l’hôtel Molitor rend hommage à Lucien Pollet, architecte de ce lieu emblématique en ajoutant une sublime verrière de sucre représentant la Rotonde Molitor.
Ce chef d’œuvre gustatif peut être commandé, en édition limitée, au prix de 70 euros.
_________________
Mini @ Picard
Fidèle à son univers rock, Christophe Michalak a imaginé une bûche en dehors des codes traditionnels. Le chef pâtissier, qui œuvre désormais à son compte dans plusieurs boutiques à Paris, a modélisé une voiture dont la ressemblance avec les anciennes Mini est flagrante. Le sigle est remplacé par l’identité visuelle du chef, un “M”, aux airs de fréquence cardiaque. Sous le capot, le bolide cache en fait un véritable dessert à décongeler au préalable 5h30 avant le repas.
La composition est une mousse au chocolat blond, un crémeux caramel-passion, qui reposent sur un biscuit amande et un croustillant praliné-coco-passion.
Compter 29,50 euros pour ce dessert de six parts. La “bûche” sera disponible entre le 24 novembre et le 11 décembre, selon les magasins
____________________
Arthur Fèvre Bûche @ l’InterContinental Bordeaux-Le Grand Hotel
Arthur Fèvre, pastry chef at the l’InterContinental Bordeaux-Le Grand Hotel, presents a majestic Christmas log which recreates the historic Place de la Bourse in Bordeaux, one of classical French architecture’s most iconic representations of the 18th century.
A delicate creation which aptly combines the flavors of hazelnut and lemon, and made with Medoc hazelnut praline crocant, light lemon mousse, lemon comfit, dacquoise, and hazelnut cream.
The bûche will become available on December 23 in an extremely limited edition. Price TBD.
*
p.s. Hey. ** David Ehrenstein, Hi. Or maybe they could build an exact replica plus theme park makeover in Laurel Canyon or somewhere and the world could have its cake and eat it too. Yes, terrible and thus far seemingly mysterious about the LA Weekly’s gutting. I wrote for them a bunch back in the day and always with total pleasure and very fine treatment from them. And, yes, to echo Ben, your piece/review of the Warhol book is superb! ** Marilyn Roxie, Thank you so much, Marilyn! The blog suddenly feels like a Xmas tree. ** Steve Erickson, Ha. I need to give Heron Oblivion more listening time than I have. I barely have an impression this far. 15 cents, yikes. ** Dóra Grőber, Hi! Cool, thank you! Yes, yes, I know exactly what you speak of re: how that anxiety works. Here’s heavily hoping that we can share a giant missions accomplished celebration together. Heavily hoping you do get the weekend off. My day … more film script work. Zac and I will get swamped with another assignment in the next days, so I’m trying to build on the film script as much as I can before we’ll have to push it at least slightly to the side. My back is still being a jerk, but it’s mostly threatening to be a total jerk, so I’m trying not to piss it off too much. A bunch of people suddenly want to interview me for various reasons — about my gif works, about my late friend the poet Donald Britton, for general reasons — so I was organising how to do all of that yesterday. I saw a theater piece last night, the new one by Jonathan Capedevielle who has been the main performer in almost all of Gisele’s and my work, and who is brilliant, and who is now making his own works. It was extremely long, and at least an hour too long, and kind of a giant mess but with many admirable qualities. I think those were the highlights. Now it’s the weekend, and, wow, it’s freezing cold here. Where you are too, I’m guessing? How was everything for and with you? ** Bernard, Hi, B. Hm, interesting: Dr. Who. I should at least get a passing knowledge of it. I wonder how I can do that. I don’t think French TV shows it, which seems weird. I keep finding new buttons of my own all the time. I feel like the more grow or wear down or whatever, more appear with every passing year, which I suppose makes total sense. God, life is weird. ** Armando, Hi. I second your happy birthday. ** _Black_Acrylic, Hi, Ben. Thanks! It sure won’t surprise me if they do. I guess it also sure won’t surprise me if they don’t given the post yesterday. The solution to all the world problems is to give me 500 billion dollars, a giant plot of land, and carte blanche to make whatever theme park I want. It’s a win-win situation. Trust me. ** Chaim Hender, My impression is that at that point in time, everyone wore hats 24 hours a day. It’s like humans had to evolve to the point where they realized that wearing hats 24/7 was unnecessary. Maybe cavemen and neanderthals wore hats all the time. Really gigantic, elaborate hats whose wonders would astonish the modern world. I did see ‘Get Out’. I liked it very much, especially the first 2/3’s. I was less convinced by the, to me, unnecessarily plotty plot turn at the end where the house becomes an underground compound, etc. That disappointed me. But the film was excellent enough that it didn’t ruin things. ** Sypha, Agreed. I’m pretty sure they’ll be in Australia until the end of January if that makes a difference. ** Bill, Hi! Right, I know, right? My back is hovering on the brink of obnoxiousness and I am tiptoeing around it. Yes, I saw that David Thomas isn’t well and the tour got cancelled. That’s very unfortunate. New David Grubbs? Cool. He’s a prolific dude. Gisele almost collaborated with him on one of our pieces at some point. I can’t remember why that didn’t happen. Thanks very much about the gig post! Have an excellent, hopefully music and general experimentation filled weekend, pal. ** Right. Today is the weekend! My annual French Christmas cake fashion show is here! I have carefully looked through all the designer Christmas cakes available in France this year and selected the above candidates to present to you, the general public. I will buy and eat one of them, probably two. I’m currently debating my options. Now it’s your turn. Were you in the market for a designer French Christmas cake, which one of those possibilities would you choose? Put on your thinking caps, rev up your tastebuds, and I will see you on Monday.
After much deliberation I’d have to pick “La bûche @ Plaza Athénée.” The detail of the wood grain looks so real that I’d be scared of getting a splinter if I put it in my mouth.
I recently learned that Israel has its own decadent pastries at this time of year. Donuts are a Hanukkah tradition, and some bakers go all out:
http://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-5049947,00.html
I’m on the lookout for hats. They make a lot of sense for a pale balding person in this climate.
I hadn’t heard of Donald Britton until you mentioned him. I just read and enjoyed “Elevators I” and “Italy”, which at least on a first reading felt like they were in the Frank O’Hara kind of mode I’ve been drawn to lately.
I’m excited for Méliès with a new (presumably techno) score tonight at the old Vienna style alternative art space. I’ve never felt so in love with a place before. The other day a musician was telling me (in Hebrew, I speak only Hebrew there) about how an early appreciation for free jazz led him chronologically backward to Jelly Roll Morton. There’s a small group of draft-dodging Vitelloni. I feel great around them both because they’re exactly the type of more-or-less nice Jewish boys I was hoping to find here and because I half believe I’m a reincarnation of my cousin who was a Greenwich Village bohemian Vietnam resistor. Do you or have you loved a place so much that it almost felt more like a person in your life than a place where you like to hang out?
I’d pick Cinq matriochkas @ Café Pouchkine as it reminds me of this joke: “I can’t stand Russian dolls, they’re full of themselves.” If that raises a smile then it should be your selection too.
Merci Dennis. However my piece isn’t really a review of “After Andy.” it’s simply that that book’s appearance supplied me with an excuse to write a piece of my own about him.
“Les Buches” are as yummy-looking as ever
Here’s my review of THE SHAPE OF WATER for Medium: https://medium.com/@stevenerickson/american-with-tears-e191f2df7428. As with my CALL ME BY YOUR NAME review, if you like this, click on the icon of the hand at the bottom so I have a distant possibility of getting paid.
I kind of liked Chapiteau @ Sébastien Bouillet. It looks almost like something that wouldn’t be too out of place in a video game.
Right now I’m almost done reading Stephen Davis’ recent biography of Stevie Nicks (“Gold Dust Woman”). It’s kind of a fast, breezy read and I’ve learnt some things about Nicks I didn’t know before, but man, talk about a hatchet job on Lindsey Buckingham. I guess Davis felt the book needed a villain and Buckingham proved to be the most convenient candidate… granted, I’ve heard that Buckingham could be very temperamental, high-strung, intense, and so forth, but I would be curious to hear his side of the story.
I think that for a long time, male fans and rock critics defended Fleetwood Mac by saying Buckingham was the real artist in the group and Nicks was a ditzy hippie (which her image made very easy to do, admittedly.) The tide might be turning in the opposite direction. I love Nicks’ BELLA DONNA, but I’ve followed more of Buckingham’s solo work and he’s kept doing worthwhile work to the recent past, although I haven’t heard his album with Christine McVie that came out this year. There was one Buckingham solo album on Warner Bros. that sounded more like a psych-folk album an indie label like Drag City would release if it was submitted to them under a pseudonym.
LOVE Stevie Nicks!
Although Nicks’ songwriting and singing are, of course, very good, there’s no denying that most of her strongest songs were in collaborations with other people. To put it more precisely, she often needed other people to help flesh out her musical ideas (hell, she was aware of this herself). One bone that Davis does throw in Buckingham’s direction is an acknowledgment that Buckingham’s arrangements tended to result in some of Nick’s best songs.
I’ve only heard 2 of Nicks’ solo albums (BELLA DONNA and THE WILD HEART), though I recently ordered one of her later efforts, TROUBLE IN SHANGRI-LA. Sadly I’ve heard none of Buckingham’s solo albums (though I have heard the one he did this year with McVie, which was quite enjoyable).
Yum. Does the first reflect a multi-cultural trend in some of the designs?
François Perret Bûche @ Hôtel Ritz could be a Halloween mask, ha. And I love La banquise @ Yann Menguy for the concept.
Jimmy Mornet Bûche @ Park Hyatt Paris-Vendome looks like it has toilet seats glued to the Paris roofs, but I’m sure I’m projecting.
It’s killing me to have to vote for one. No one else is likely to vote for François Perret, so I will.
Bill
Some of these are so beautiful, I don’t understand how people bring themselves to eat them.
Oh and HI!
JUST POSTED ON YOU TUBE BILL’S CHARLES MANSON STORY !
Hey Dennis, hope your back hasn’t got too bad! That sucks! Cool buches day–the matrioshka one is really beautiful. I think I’d most like to eat the loiseau one, though I also like the look of the reindeer with the handbag!
Regarding what you said Monday, that book as therapist analogy is a very good one. I hope good things pan out regarding the festivals you’re waiting to hear from with the film. I know me and many others are so excited to see it.
That Paul Metcalf Genoa day was incredible. The interview with him was really inspiring. I’m already using one of the terms he uses “tensegrity” for my workshop at the mfa res I teach at a week from now.
Anyway, hope you get more snow!Alistairxo
So young man. We did the auditions today. sorry we fell through on the organization of Skyping you in. Initially 67 people signed up, 47 showed up. We ended up with 12 dancers. We think we’ve made the cut to 5, which is the number we need, since Jeremy and Michael Watkiss will be joining us. We want to send you the resumes and the video tape of the last 12 and see what you think. Your input would be much appreciated. what would be the best way to do this? We’d need your feedback by Thursday December 7. Interested? We’d love your feed back, we are sure about a couple, yet not about others. Let me know the best way to get this stuff to you. xoxoxo Chris
1. Arthur Fèvre Bûche @ l’InterContinental Bordeaux-Le Grand Hotel – for me, the most classical, satisfying “new” style bûche.
2. Rose @ Hôtel Belles Rives — love the dazzle factor. LOVE.
3. Florence Lesage Bûche @ The Westin Paris-Vendome — I like the purity of its intention, the simple variation on the original bûche form, really beautifully executed.
Summary judgments:
>La banquise @ Yann Menguy – verrrry interesting; also sounds delicious.
>La sculpturale bûche de Maxime Frédéric @ L’Orangerie – Really, hon? There’s such a thing as being too clever.
>Bûche Rock @ Christophe Michalak — ditto trying too hard
>Pierre Gagnaire Bûche @ Fouquet’s – almond cream with green-peppercorn flavor – ooooooh!!!
>I think I might enjoy eating La bûche @ Plaza Athénée or François Perret Bûche @ Hôtel Ritz most, with a nice cup of tea. I have to judge the bûches by visual concept, because I’m not a fancy pastry guy (yes, you have seen me devour pâtisseries and viennoiseries, but after all, you know some really amazing places), and because they have this thing for passionfruit and mango, and flavors that I don’t see going with chocolate. Cassis, raspberry, orange: fine; almond, hazelnut, bring it on .
!סופגניות What I remember seeing here and there were these towers of doughnuts like a croquembouche. But latkes mean a lot more to me than doughnuts, i think, maybe because it’s hard to find a really great doughnut. The best doughnuts i ever had were from the bakery at the Trapp Family Lodge in Vermont. i doubt very much that they encourage Hannukah celebrations there; it’s pretty aggressively Christian.
Hi!
The Beauty Pageant! Wow, this year’s contestants are strong! My choice is “La bûche @ Plaza Athénée”. It sounds and looks absolutely delicious. But the “Mini @ Picard” is a close second. Which one(s) are you planning to buy?
It sounds like you’re about to have quite a few busy days/weeks from now on! Did you manage to make satisfactory progress with the film script? And what about the schedule for all the upcoming interviews? Are you usually nervous before them?
I’ll see what I can find about Jonathan Capedevielle’s new piece!
It’s really cold here too! Do you have any snow? They say we’re about to, pretty soon!
I got lucky with Saturday so my whole weekend was/is free! Apart from a few errands I had to run, I’m mostly reading and listening to Patti Smith. I watched ‘Animal Factory’ last night – looks like I’m still feasting on your Edward Furlong post!
There’s a Manic Street Preachers blog I follow on tumblr and the owner of it shared a link to a story she wrote with a friend. It’s an alternative ending to a book about Richey (‘Richard’ by Ben Myers – It really does have kind of a weird and unrealistic ending with Richey up in some mountains…) I read it yesterday and it absolutely blew my mind. It was fantastic.
How was your weekend? I hope your back decided not to be a jerk at all!!
I think I’d have to go with the electric guitar, although I’d like to see it accompanied by a pair of turntables and a drum machine.
Have you heard ROME, the new album by ELUCID (who was part of your last Gig Day) and Billy Woods under the name Armand Hammer? This has gotten little hype, but both rappers sound better as a duo than they do on their own. The lyrics are politically conscious and angry without an entire song turning into one long preachy rant. The production is adventurous and full of disorienting electronics. When hip-hop often seems in danger of sinking into endless songs about “I’m depressed, popping Xanax and washing it down with lean” delivered in a mush-mouthed flow, this is really refreshing.
Also, I’m excited that Huoratron’s second album is finally coming out on Dec. 8th, although at least half of it consists of previously released singles. He first announced a release date in July and didn’t make it, but now it’s available for pre-order on iTunes. I look forward to some really disturbing music videos.
actually all has been sent to you in an email from Ben Kimitch from PS. Look forward to hearing your comments
Hey D. I can’t pick a cake. I’m here to vent, cuz you always seem to either comfort me or call me on shit. Right now, my rent is to be raised to $1000 per month for this dump. I understand ‘gentrification,’ but that’s obscene. It’s more than I get from disability per month, and that is barely enough to even feed me. So, I have a couple places I can go. People in this neighborhood who are in my situation (meaning people who don’t have parents pay for living on a college campus) are moving to Hamtramck. I have an offer there that seems the best. Or further downtown in Cadillac Square. I’m very angry and confused. I’d ask Trevor to move in, but that’s not fair to him – and I don’t want to live with him, as much as I love him. Jeez. Best to you and all of you.
Hey Dennis – Always enjoy seeing the Buche pageant. Great line-up, I don’t think you can wrong here, but my votes (avoiding the traditional log shape for no good reason):
– La banquise @ Yann Menguy
– Chapiteau @ Sebastien Bouillet
– Noel Flamboyant @ Cyril Lignac
Which ones are you leaning toward right now?
I saw the wonderful french film ‘The Girl with Golden Eyes’ this weekend. Are you familiar with it? It’s from 1962 and directed by Jean-Gabriel Albicocco, who is some sort of cult director but new to me. (Maybe a candidate for a future post?) The movie was recommended to me by Jeremy Davies, whose cinephilia runs deep. It reminded me of Rivette (even features Balzac’s mysterious cabal The Thirteen from ‘Out 1’) mixed with the intense stylizations of someone like Georges Franju. Felt very slippery, filled with doubles, odd elisions, owl masks.
Hope you had a good weekend.
Here’s Jean-Gabriel Albicocco’s The Girl with the Golden Eyes. I saw it when it came out in 1961. Albiccoco (who was quite the Babe) is also famous for his film version of Le Grand Meaulnes.
The Girl with the Golden Eyes is a modern dress adaptation of a Balzac nouvelle that was one of the three parts of L’Histoire des 13 — the “structuring absence” of Rivette’s Out 1
Oh, I forgot to volley some sympathy to you regarding your back. I’ve definitely been there. Hope you have a good doc. But, even a good doc can’t make that sort of thing not happen.
This should say this somewhere up there, but my comment has totally disappeared on my end:
“Dennito! (I often refer to you as such in my thoughts, believe it or not. I do that with a lot of friends.) I loved the rides Friday and the Buche de Noels today. Or is it Buches de Noel? Hmm.
You know, I bet there’s a bakery in DC that does these things. I should look for one. I’d like to have one myself.
Okay, now let me talk about my butthole. Friday night, I spent 3 hours in urgent care. I woke up Friday morning and immediately knew that something wasn’t right with my butthole. I felt down there, and there was some very hard and rock-like. I took a pic. Then I researched. I found something that looked exactly like it.
So…it turns out my self-diagnosis was 100% correct and I was right to go to the doctor…though the wait was 2 1/2 hours. I had a clot on my butthole, aka a thrombosed hemorrhoid. Never had such a thing before. The doc said they can come out of the blue. They’re not dangerous, but it’s best to get them drained/lanced within the first 24 hours to prevent the ensuing weeks of agony as they resolve themselves. After that initial 24 hours, no amount of draining/lancing is gonna help. It’s just grin-and-bear-it time.
The doctor was hilarious, a small, very energetic Asian woman (I’m thinking maybe Korean). She said, “Now you will know what it’s like to have a C-section, hehehe.” When she did it, she goes, “Okay, time for the C-section. Here comes the baby!”
She said it was one of the biggest she’s seen. I took a pic of it to show my family. Crazy. The doc gave me a lollipop for being a good boy.
I told her that for a man, I have a rather high tolerance for pain. She said that I was one of the only patients she’s had who didn’t cry or yelp when she stuck the needle in to numb it. She said, “You could be a good spy. What is your social security number and password?!” Frankly, it felt like a mosquito bite at worst.
Anyway, it’s taken care of, should clear up fully in a few more days.
And now I have a dentist appointment tomorrow. I have a loose bicuspid that’s started to hurt. It’ll most likely get extracted.
I’m finishing the year in fine fashion!”
And here’s what the first part should say. The first sentence was in parentheses, but those seem to be fucking everything up.
“Dennito! I often refer to you as such in my thoughts, believe it or not. I do that with a lot of friends. I loved the rides Friday and the Buche de Noels today. Or is it Buches de Noel? Hmm.”
Ha! Rides kept appearing as wrinkles on my end. What the fuck?
Hi Dennis, a nice buche de noel post. What’re you going for? I like mini, a small car one. Currently wrapping up that promised post. Soon. Thanks for the waiting.